Balade à la Rochelle...
C'est parti pour une petite visite faite il y a quelques semaines à "La Rochelle" située en Charente Maritime.
Tout d'abord une halte afin de visiter la petite exposition sur les chemins de Fer se tenant au 2ème étage de la Tour de la Lanterne.
J'ai pu voir de belles reproductions d'affiches et leur histoire. Je pensais y trouver de la carterie s'y reportant... mais rien !
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La maison du chat : Construite en 1926, par l’architecte Maurice Morguet, cette maison présente une architecture de style néo-normand. Un petit chat en céramique posé sur son toit lui a donné son nom. Elle se trouve au n°2 de la rue sur les murs et offre une vue imprenable sur l’entrée du vieux port et la baie de La Rochelle.
La balade continue vers la plage de la Concurrence, puis je longe le mail côté océan... Malgré un ciel très nuageux, la température reste douce pour ce mois de novembre.
Arrivée au Parc Alcide d'Orbigny, petite halte devant le "Pavillon Fleuriau" du nom de M Fleuriau de Bellevue qui l'avait fait construire à ses frais pour agrémenter les promenades des curistes dans le parc.
Puis mon regard est attiré par un drôle d'arbre... appelé "Pin d'Alep". Merci l'écriteau ! Le pin d'Alep est un arbre de 5 à 20 m de hauteur qui fait plus partie du paysage méditérranéen. C'est le botaniste écossais Philip Miller qui lui donna ce nom scientifique, en 1768.
Mais aussi, cet ancien blockaus recouvert de végétation et de Street Art (plus ou moins joli).
Le parc Franck Delmas : Légué par la famille Delmas en 1961, ce parc de 7 Ha est situé au bout des allées du mail.
Une demeure bourgeoise, propriété des anciens maîtres des lieux, siège au cœur de sentiers arborés et d'aménagements de plantes diverses.
Le legs de la famille d'armateurs Delmas en 1961, suivi d'une acquisition complémentaire par la ville en 1964 a permis la création du parc.
Le Parc d'inspiration anglaise est protégé derrière des grilles, ouvertes chaque jour au public qui le traverse. Le style d'origine (fin du XIXème) a été respecté lors de sa restauration après la tempête de 1999.
Déjà très riche en chênes verts et pins, il a été doté d'une collection de conifères adaptés aux contraintes locales (embruns, calcaire, sécheresse).
Ainsi s'y découvrent fruitiers, garrigues et palmiers... associés en cohérence, créant des familles paysagères très lisibles sans sophistication artificielle excessive.
Découverte pour certains et redécouverte pour d'autres, j'espère que cette petite balade vous a plu...
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Merci pour tous vos petits messages de sympathie...
Bonne journée à vous tous qui passez par là !